Mercredi chez mamie, ce ne sera pas spaghettis bolognaise mais boulettes de poulet St SEVER aux cacahuètes ! Et cette fois-ci, mamie jouera au petit commis de cuisine pour laisser ses petits-enfants prendre la toque.
EN CUISINE CHEF !
ET EN BONUS : LA PETITE ASTUCE…
Elles sentent bon ces boulettes de poulet St SEVER… Et pour la présentation, l’accompagnement, on fait comment ? Parce que oui, tout ça, ça compte aussi pour les enfants ! Et ce ne sont pas les idées qui manquent !
– Piquez-les sur des petites brochettes adaptées aux enfants pour les manger du bout des doigts. Vous pouvez aussi utiliser cette astuce pour vos soirées tapas avec les
copains !
– Présentez-les avec une sauce au yaourt, ciboulette et citron et une salade de mâche pour les déguster au dîner.
– Transformez cette recette en vrai plat en préparant du riz, en déposant les boulettes dessus et terminez par un filet de sauce soja sucrée.
– Troquez les boulettes de boeufs de vos spaghettis bolognaise avec ces boulettes au poulet nappées d’une sauce au curry. Vous leur ferez découvrir de nouvelles saveurs !
ÇA, VOUS NOUS EN DIREZ DES NOUVELLES…
La sauce soja
Originaire de Chine où elle est connue depuis plus de 2500 ans, la sauce soja a conquis les cuisines asiatiques depuis longtemps. Elle est introduite au Japon sous le nom de « shoyu » au VIIe siècle par des moines bouddhistes.
4 critères pour bien choisir la sauce soja :
1. La couleur
Un brun ambré et légèrement transparente
2. La consistance
Totalement fluide
3. L’odeur
Des notes d’agrumes, de vanille et de torréfaction
4. Le goût
Frais, léger, des arômes subtils et un bon équilibre.
Et en cuisine, qu’est-ce que ça donne ?
- La sauce soja attendrit et parfume les chairs de votre viande et de votre poisson. Utilisée dans sa version sucrée, elle vient caraméliser des légumes ou des noix et même apporter du croustillant à la volaille du dimanche ! Elle sublime aussi les desserts avec sa touche caramélisée,
comme la tarte tatin. - La sauce soja salée peut remplacer le sel, le poivre ou même le vinaigre : ajoutez quelques gouttes dans vos potages, soupes et autres veloutés en fin de cuisson, ou utilisez-la en remplacement d’un cube de bouillon déshydraté en début de cuisson. En plus, c’est moins gras !
- Elle peut même faire office de décoration d’assiette : réduisez-la à feu vif pour qu’elle s’épaississe et laissez aller votre imagination.
Astuce : si vous avez la main lourde sur la sauce soja, ajoutez une pincée de cannelle ou de vanille pour adoucir le tout.
Les boulettes aux cacahuètes ne passent pas ? Essayez plutôt le cordon bleu au poulet fermier St SEVER, on est sûrs qu’il vont adorer !
VOUS VOUS COUCHEREZ MOINS BÊTE CE SOIR !
La cacahuète des Landes
Cultivée uniquement à Soustons, terre landaise qui lui offre toutes les conditions d’un sol sablonneux pour s’épanouir, la cacahuète des Landes est un petit trésor gastronomique qui fait la fierté du Sud-Ouest.
Une alternative au haricot blanc
Contrairement à son homologue, la cacahuète est blanchie, fraîche, dans de l’eau légèrement salée et non torréfiée. On la fait ensuite cuire à feu doux pendant 20 minutes. Résultat : une chaire fondante, souple, fine, un goût d’arachide qui s’atténue et qui se fond parfaitement avec les viandes comme le canard. Aucune trace, contrairement au haricot farineux.
La cacahuète en cassoulet, vous connaissez ?
C’est ce que le chef landais Michel Batby a appelé la « cassouhète », où la cacahuète vient remplacer le haricot. Et il n’en est pas à son 1er coup d’essai : la terrine de roquefort à la cacahuète servie avec une glace à la cacahuète, les filets de poulet panés à la cacahuète, les tuiles à la cacahuète et la nougatine à la cacahuète…
Mais il n’y a pas que le cassoulet dans la vie d’une cacahuète ! Elle rentre aussi dans la composition de plein d’autres recettes, salées et sucrées. Regardez par ici…