UN CLASSIQUE DES LIVRES DE CUISINE : LES CUISSES DE POULET AU PESTO MAISON RÔTIES AU FOUR St SEVER
Un poulet au pesto, c’est un classique qu’on dégaine tous en cas de “page blanche” dans le cahier de recettes. Le pesto va relever la tendresse et la douceur du poulet pour lui donner du corps et du caractère. On parsème de chapelure, de pignons de pin et hop, l’affaire est dans le four !
De la chapelure oui, mais maison !
Et pour ça, rien de plus simple : enfournez du pain rassis à 100°C pour bien le dessécher, passez-le au mixeur et le tour est joué. Si vous n’avez pas de pain sous la main, vous pouvez râper doucement des biscottes.
D’autres ingrédients se prêtent aussi très bien à la chapelure : biscuits apéritifs, crackers, cacahuètes, amandes, gressins, pain azyme… Il suffit de les passer au mixeur pour obtenir la texture souhaitée.
> Conseil : aromatisez-la avec des épices (cumin, curry, paprika…), des herbes séchées (origan, thym…), des baies, ou même des graines (graines de sésame, graines de courges).
Et après ? Vous pouvez paner du poisson et des légumes. Mais vous pouvez aussi vous en servir pour switcher des desserts : moelleux au chocolat à la chapelure, tarte au miel et à la chapelure, pudding au gingembre et aux fruits secs…
Craquez aussi pour le pignon de pin
La forêt des Landes de Gascogne, c’est 1 million d’hectares et donc le plus grand massif forestier occidental, peuplé à 80 % de pins maritimes. Mais on y trouve aussi des pin parasols et ce sont eux qui donneront des pignons de pin.
Il se cueille en pleine forêt en même temps que les champignons. Mais les pignons de pin ne sont pas les seuls trésors de cet arbre. Autrefois, le gemmeur récoltait la résine des pins en cassant l’écorce de l’arbre. C’est ce qu’on appelait « l’or des bois », utilisé autrefois pour fabriquer des torches, des bougies, puis de l’essence de térébenthine (retrouvée dans les peintures, les vernis…).
Aujourd’hui disparu, ce métier a néanmoins laissé une tradition et un héritage qui perdurent dans le coeur de tous les Landais.
ÇA S’AMUSE EN CUISINE : LES INSOLITES OUBLIÉS DANS NOS PLACARDS
En cuisine, les placards de nos grands-mères ont toujours débordé d’ustensiles inconnus au bataillon ! Un capucin, c’est quoi ça ? Un fouet à spirale ? Mais à quoi ça peut bien servir… L’occasion de passer en revue le contenu de leurs placards…
- Capucin
C’est un ustensile de cuisine en fer utilisé depuis le Moyen-Âge. Aujourd’hui disparu de nos placards, il a été utilisé dans les cuisines de l’Occitanie en particulier l’Aveyron (Midi-Pyrénées) où il s’appelait « flambadou » (de l’occitan « flambado »).
- Cantine
C’est une ancienne gamelle d’ouvrier émaillée. Dans la culture ouvrière, il était coutume que les ouvriers mangent à l’écart des chefs, « entre soi ». Ils préféraient même manger leur gamelle au vestiaire, assis par terre, plutôt que de côtoyer les cadres et employés qui mangeaient à la cantine.
- Fouet à spirale
Lui, il n’est pas si inconnu que ça puisqu’on le trouve encore dans nos cuisines modernes. On l’utilise pour écraser les grumeaux, mélanger dans des récipients étroits, faire mousser les préparations liquides, etc.
- Anti-monte lait
En porcelaine, inox ou verre, il se place au fond de la casserole et évite que le lait ne déborde de la casserole, tout simplement !
- Presse-purée à la main
Ah, on y revient à ça : une bonne purée maison, écrasée à la main… Il n’y a quand même rien de tel… Pas vrai ?
Il Fallait y penser !
3 modèles pour broder sa manique
La broderie, c’est mamie ! Détrompez-vous, c’est une tendance qui revient en force sur la scène déco et qui permet de tout customiser à gogo, même les maniques en cuisine. En pour ceux qui seraient un peu frileux à l’idée de sortir les aiguilles et les bobines de fil, on vous a repéré tout ce qu’il faut pour vous lancer et vous mettre au point de croix !